À quelques semaines de la fin de la mission Rosetta et après l’analyse de plusieurs mois de données collectées par l’instrument COSIMA, un spectromètre de masse se trouvant sur la sonde Rosetta, l’équipe de scientifiques constituée autour de cet instrument apporte la preuve de la présence d’une composante organique macromoléculaire dans les grains de poussières cométaires.