Astrophysique de la Matière Interstellaire
Bienvenue sur les pages de l'équipe Astrophysique de la Matière Interstellaire (AMIS).
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Pour réconcilier le modèle standard de la cosmologie avec la quantité d'amas de galaxies observés en rayon X, une équipe de chercheurs français a montré que les masses des amas devraient être 70% supérieures aux estimations actuelles. Ces résultats confortent les résultats de Planck obtenus en 2013 en observant les amas dans les micro-ondes. Néanmoins, le sujet continue d’intriguer les cosmologistes pour qui une telle différence de masse est difficile à expliquer. Notre compréhension de la physique des amas doit-elle est révisée ou le modèle standard cosmologique est-il incomplet ?
Une équipe internationale, dirigée par des astrophysiciens de l’IAS et de l'IRAP, a découvert à l’aide des satellites Planck et Herschel de l’ESA de nouvelles et énigmatiques galaxies lointaines formant d’impressionnantes quantités d’étoiles.
Nouvelles informations sur la matière noire, les neutrinos, les premières étoiles et le modèle cosmologique : la collaboration Planck, incluant une participation majeure de l'Institut d'Astrophysique Spatiale, vient de publier près de vingt nouveaux articles et révèle ainsi d'importants résultats qui permettront de mieux comprendre certaines époques déterminantes de l'histoire de l'Univers.
En analysant conjointement leurs données, les collaborations Planck et BICEP2/Keck ont montré que la détection des ondes gravitationnelles primordiales à travers l’observation de la polarisation du fond diffus cosmologique n’a pas encore eu lieu. Ce résultat est le dénouement du feuilleton scientifique qui a tenu en haleine cosmologues et passionnés d’univers depuis mars 2014 : le signal dont la détection a été alors annoncée par l’équipe BICEP2 n’est pas associé aux premiers instants du Big Bang. Il résulte de la combinaison du signal provenant de notre Galaxie et de distorsions gravitationnelles du fond diffus cosmologique au cours de sa propagation jusqu’à nous.
La collaboration Planck, qui implique notamment le CNRS, le CEA, le CNES et plusieurs universités françaises, dévoile à partir du 1er décembre, dans une conférence internationale à Ferrare (Italie), les résultats des quatre années d’observation du satellite Planck de l’Agence spatiale européenne (ESA), dédié à l’étude du « rayonnement fossile », la plus vieille lumière de l’univers. Pour la première fois, la plus ancienne image de notre univers est mesurée précisément selon deux paramètres de la lumière, sur l’ensemble de la voûte céleste : en intensité et en polarisation.