Puisque chaque champ a été observé par 2 ou 4 rasters différents, parfois décalés les uns des autres d'une fraction de pixel, la source simulée dont la position a été tirée au hasard peut tomber par exemple au centre d'un pixel PHOT sur un raster et sur un bord de pixel sur un autre. J'ai donc divisé chaque pixel PHOT en 9 sous-pixels de 30.7×30.7 secondes d'arc pour lesquels j'ai calculé le lobe ``décalé'' pixellisé (utiliser 25 sous-pixels aurait necessité de trop lourds calculs).
La première étape du processus d'addition des sources consiste, pour un raster donné, à trouver dans quelle fraction de pixel PHOT tombe la source tirée au hasard. Ensuite j'ajoute à la brillance de ce pixel la brillance correspondante à la fraction du flux de la source tombant dans ce pixel. Disposant des coordonnées de chaque pixel, j'ajoute aux pixels le reste de la contribution de la source.
L'addition des sources concerne également les sources dont le centre ne tombe pas à l'intérieur du raster, mais dont les ailes contribuent aux observations. Il convient alors de tester où tombe la source (à l'extérieur du raster) et d'ajouter aux observations sa contribution.